Pour toi,
Toi qui n’es pas le héros de ces pages, mais dont les gestes tracent les contours de ces histoires.
Pour les paroles que tu ne sais pas prononcer, celles que tu oublies ; pour ton insolence, ta tendresse involontaire.
Pour ton panache, tes silences, tes sourires et le meilleur de toi qui efface le pire.
Merci d’être plus vivant que les autres.

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